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Moustique-tigre : le développement aquatique, c’est là que tout se joue

Privé d’accès à l’eau, le moustique-tigre ne se reproduit pas. « Zéro éclosion, zéro invasion ! »

Voilà plus d’une trentaine d’années qu’Aedes albopictus ou moustique-tigre est présent en Europe occidentale.

La multitude de gîtes larvaires (lieux de ponte) qui existent dans notre environnement proche (seaux, vases, soucoupes, fûts, citernes, gouttières obstruées, bâches non tendues…) fait de chacune et chacun de nous le premier acteur de la lutte contre la prolifération de ce moustique. Plusieurs gestes simples, économiques et efficaces peuvent être mis en œuvre :

  • mettre du sable dans les coupelles de pots de fleurs, qui évite l’eau stagnante tout en gardant, après arrosage, l’humidité.
  • fermer hermétiquement les collecteurs d’eau de pluie ou les couvrir avec de la toile moustiquaire à maille fine (car le moustique-tigre est tout petit).
  • vérifier l’écoulement des eaux des gouttières et de tout autre conduit.
  • vider une fois par semaine ou ramasser tous les réceptacles potentiels dans les jardins, sur les terrasses et les balcons (écuelles pour animaux, bâches non tendues, jouets, outils et objets de jardinage qui peuvent retenir l’eau, etc).

C’est au prix d’une lutte incessante, individuelle et collective (au niveau de chez soi et de son quartier), que pourront être réduits les niveaux de populations de moustiques-tigres et leur nuisance.
N’hésitez pas à télécharger le dépliant de l’EID Méditerranée ainsi que la check-list des bons gestes à adopter

N’hésitez pas à consulter le site dédié ici.

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